Je vais être franc : je n’ai pas envie que tu démarres cette activité uniquement pour l’argent.

Tu dois apprécier le processus et aimer agir pour quelque chose de plus grand que toi. C’est là que la magie opère.

C’est comme dans tout, mieux vaut être aligné avec ce qu’on fait au risque de s’y perdre pour de mauvaises raisons.

Mais si tu as tout ça et que tu ne t’y es toujours pas mis : tu dois comprendre que tu passes à côté d’une activité de fou, pleine de sens global et d’intérêts pour toi.

Alors tu te dis que je suis bien mignon mais que quelque chose cloche.

• C’est trop beau.

• Ce n’est pas si simple.

C’est ce que tu te dis ou ce que beaucoup te diraient.

Avoir des ruches demande quand même un minimum de temps ne serait-ce que pour te former.

Et tu n’as peut-être pas le temps d’assister toutes les semaines à un cours magistral dans un rucher-école.

Mais pour le coup personne avant moi ne t’a jamais parlé de rentabiliser tout ça.

Alors que tout le monde le fait au passage :)

Au contraire, quand tu te renseignes un petit peu sur le matériel, tu découvres des prix qui te découragent de commencer

Tu te dis en plus qu’il faut beaucoup de matériel et que tu ne pourras pas faire sans cet équipement.
Que ce matériel est une clé importante de la réussite et déterminera entre autres ton succès ou non.

En réalité, il y a vraiment besoin de pas grand chose.

Penses-tu que la couleur de la ruche, que la taille de l’enfumoir ou même que la forme du toit aient réellement un impact sur les abeilles et tes résultats ?

Ce n’est pas tout, tu ne veux pas te déplacer tous les trois jours pour surveiller quelques ruches ?

Et tu ne fais peut-être pas partie de ceux qui peuvent installer leurs ruches à 20 mètres de leur habitation, à la campagne ?
Tu habites peut-être en ville et tes ruches ne seraient peut-être pas proches de chez toi, voire à plusieurs dizaines de kilomètres.

Tu les installerais donc chez un membre de ta famille, un ami ou même un agriculteur, comme je le fais avec mes centaines de ruches.

Tu te dis que tu n’auras même tout simplement pas le temps à consacrer aux déplacements.

Ou comme des poules, un chien ou un chat ? Et qu’il fallait s’en occuper de manière quotidienne ?

Sais-tu qu’avec le temps j’ai observé que moins je les visitais, mieux elles se portaient ?
Sais-tu qu’elles sont actives 6 mois de l’année et que les 6 mois restants, l’apiculteur n’a quasiment aucune action à y faire ?

Aujourd’hui je passe en tout et pour tout en moyenne 1 heure par ruche et par an.

Mais bon tu as quand même vu qu’un essaim d’abeilles coûte cher.
Et tu te dis qu’au risque de le perdre en moins de deux, ça ne vaut pas le coup.

Mais sais-tu qu’il est possible de créer de nouveaux essaims gratuitement ?

De plus, tu as entendu dire que la production moyenne de miel à la ruche a diminué sur tous les territoires.
Tu penses aussi que pour extraire ce miel il faut du matériel ?
Et ce matériel lui aussi vaut cher.

Mais est-ce qu’on t’a dit que tu pouvais t’éviter d’acheter du matériel d’extraction tout en valorisant ton miel 2 à 3 fois plus cher que la concurrence si tu le souhaites ?

Que ce soit sur Internet ou ailleurs, tu n’arrives pas à faire la part des choses et imaginer prendre du plaisir après t’être cassé la tête à faire tous ces choix.

Le pessimisme est omniprésent, gâche ta vision et ton envie d’agir.

Résultat : tu penses que ce n’est pas pour toi et tu ne passes pas à l’action.

Et c’est normal, à mes débuts j’ai failli tomber dans le piège.

Car c’est vrai, sans la bonne stratégie tu peux perdre tes abeilles et l’apiculture peut rapidement devenir une passoire financière.

C’est ce que beaucoup d’apiculteurs veulent projeter. Ils ne veulent pas partager le gâteau.

• Pourquoi parler de rentabilité ?

• Pourquoi communiquer que tout le monde peut vendre du miel et rentabiliser cette pratique ?

• Pourquoi simplifier ?

C’est bien dommage car l’intérêt global derrière le fait d’avoir des abeilles devrait encourager la transparence.

Cette activité 100% vertueuse est d’importance capitale pour le bien commun.

Et c’est un contresens. Tu seras obligé de récolter le miel de tes abeilles, pas parce que tu veux les voler mais parce que tu dois le faire si tu as bien fait ton travail avant.

L'abeille est un insecte ammasseur qui produit plus que ce qu'il consomme. Une partie du miel qu'elles produisent ne leur servira jamais. Leur laisser les desservirait en refroidissant leur espace l’hiver. C’est pour ça que je parle de cercle vertueux.

Avoir des abeilles récompense naturellement celui qui s’en occupe. Et l’apiculteur récompense l’environnement en ayant des abeilles !

Alors je ne vais pas faire le malhonnête.

Pendant très longtemps j'étais heureux que l'apiculture reste une activité un peu cachée de tous.

Car moi aussi je voulais en quelque sorte ne pas partager ce mode vie qui m'apportait tant.

• Le frelon asiatique tue toutes les abeilles

• Les pesticides les déciment

• La météo est compliquée.

Et il y a une part de vrai dans tout ça.

Mais la bonne stratégie permet de passer au delà de ces problèmes.

Sinon comment les pros feraient-ils pour réussir à vivre de cette activité de manière totale ? Alors qu’ils ont très peu de temps à allouer à chaque ruche par rapport à un amateur du fait du volume énorme de ruches qu’ils gèrent (j’ai eu jusqu’à 800 ruches par an).

Et franchement c’est en dessous de cinquante ruches que j’ai pris le plus de plaisir à pratiquer.

À mon sens jusqu’à ce stade, l’apiculture, pratiquée avec la bonne méthode n’offre que du positif.

Et je n’avais pas assez de miel pour tenir jusqu’à la récolte suivante.

Malheureusement après cette récolte merveilleuse, j’ai beaucoup réinvesti dans de nouvelles ruches mais surtout dans du matériel superflu.

Ce fut malheureusement mon pire choix jusqu’à présent.

Au lieu de continuer à rentabiliser sur ce qui marchait déjà, j’ai brulé les étapes et l’appât du gain m’a fait perdre des années.

Juste à cause d’une mauvaise stratégie et de choix gourmands en matériel inutile.

De plus, je ne valorisais pas plus mon miel que ça. C’était pourtant si simple.

Heureusement à côté de ça j’utilisais déjà la ruche double gain pour créer moi-même gratuitement de nouveaux essaims et je ne m’étais pas suréquipé en matériel d’extraction.

Investir intelligemment, doubler gratuitement sa force de production chaque année, et se différencier afin de valoriser sa production par rapport aux autres.

J’étais à ce moment là en train de construire l’ébauche de ce que j’appelle aujourd’hui:

L’apiculture rentabilité express.  

• Une apiculture minimaliste en temps, en actions et SURTOUT en investissement ! Dépenser moins tout en faisant plus !

• Une ruche double gain qui permet de doubler le volume de miel produit sans dépenser plus.
  Passer de 1 à 2 essaims gratuitement (une opération qui peut être réalisée une fois dans l’année) en respectant un timing ultra précis basé sur le calendrier naturel des floraisons et de développement des colonies. Bien réaliser cette technique permet de multiplier par deux son cheptel tout en garantissant de doubler aussi sa production.

• Une extraction maison 100% naturelle qui permet, en ne dépensant rien en matériel d’extraction en tout genre, de valoriser naturellement son miel, mieux le vendre et le vendre plus cher. Pour un produit fini plus attractif, plus brut, de meilleure qualité (pas de contact avec l’inox qui désactive les enzymes, miel de la ruche brut : en brèche)
  Alors ces trois points cruciaux mêlés à un stratégie étape par étape, claire et détaillée c’est Business mielleux.

La méthode qui m’a permis les années suivantes d’en arriver là.

Une solution qui n’ôte aucun plaisir, qui n’enlève qu’inconvénients et frustrations.
Une méthode pas à pas qui évite les risques pour plus de sérénité et des résultats dès les démarrages.

Voici ce que tu vas apprendre dans cette formation :

1 - Module

• ierieyri

• jeryierieu

2 - Module

• tuer e rue

• eiruieure